(2002-2004) SRAS
In interceding years, Chinese Canadians also built community resilience under the onslaught of further racism, notably during the first coronavirus outbreak in 2002-2004 of Severe Acute Respiratory Syndrome (SARS), in southern China. SARS spread abroad, likely through travelers, and eventually sparked an outbreak in Toronto.
Au cours des années, les Canadiens d’origine chinoise ont également renforcé la résilience de leur communauté face à la poursuite du racisme, notamment lors de la première épidémie de coronavirus en 2002-2004 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), dans le sud de la Chine. Le SRAS s’est propagé à l’étranger, probablement par le biais de voyageurs, et a finalement déclenché une épidémie à Toronto.

Cliquez ici pour lire l’éditorial de Catherine Little dans le Toronto Star.
Despite progress on some fronts to advance human rights, Chinese Canadians, and other groups, have faced persisting intolerance, bias, micro-aggressions, and hate violence.
Malgré les progrès réalisés sur certains fronts pour faire progresser les droits de la personne, les Canadiens d’origine chinoise et d’autres groupes sont confrontés à une intolérance persistante, à des préjugés, à des micro-agressions et la violence haineuse.